L'amant de ma femme me livre à ses potes (suite1)

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il y a 8 ans

Le début de l'histoire est ici

Le soir venu je mis mes plus beaux dessous, guêpière satin bleue à dentelle noire, string assorti, bas couture noirs, escarpins, robe très courte, bleue à paillettes et une perruque auburn.

Quand elle me vit, Elisabeth parut satisfaite.

« Tu es superbe, je suis sûre que tu plairas à Medhi, je vais juste reprendre un peu ton maquillage et tu seras parfaite. Je prends un risque, imagine que tu lui plaises plus que moi, il va falloir que je me méfie »

Je n’appréciai que modérément.

Medhi arriva à vingt heures avec trois bouteilles de vin. Musulman non pratiquant, il buvait un peu mais très modérément. Mais ce soir-là il avait visiblement décidé de faire une exception.

Je sentis immédiatement que quelque chose était différent ce soir-là. Alors que d’habitude, en ma présence ils n’changeaient que de discret baisers, là ils s’embrassèrent fougueusement, Elisabeth caressant ostensiblement la braguette de son amant. Tout pour me mettre à l’aise.

Elisabeth enfonça le clou.

« Mon Chéri je te présente Marlène, ma…, mon petit mari, enfin mari façon de parler, tu ne l’embrasses pas ? »

Medhi paraissait aussi mal à l’aise que moi, alors qu’Elisabeth avait l’air de savourer ce moment. Son amant et son cocu face à face.

Nous nous fîmes la bise et nous passâmes au salon pour prendre l’apéritif. L’atmosphère se détendit quelque peu au bout d’un moment. C’est surtout Elisabeth qui menait la conversation, elle était très à l’aise.

Ils étaient assis côte à côte sur le canapé, je leur faisais face dans un fauteuil. J’essayai de garder contenance, faisais attention que ma robe ne remonte pas trop haut car j’avais remarqué que Medhi fixait mes jambes et mes cuisses, il essayait d’être discret mais n’y réussissait pas totalement.

Cela n’ avait pas échappé à Elisabeth.

« Attention mon Chéri, n’oublies pas que c’est moi ta maitresse, pas ma petite Marlène »

L’apéritif trainait en longueur, ils se resservirent plusieurs fois de l’alcool ce qui n’était absolument pas dans leurs habitudes. Elisabeth, pourtant plutôt réservée en temps normal se frottait à son amant, lui caressant les cuisses, s’attardant sur la braguette était en train de s’exciter, elle lui chuchotait à l’oreille puis me regardait d’un air salace. Lui, également désinhibé avait glissé une main sous la jupe de Ma femme.

Je devais être rouge de honte, en tout cas je sentais ma tête bouillir, ils avaient décidé de m’humilier ce soir.

Soudain Elisabeth se leva, prit Medhi par la main et dit, j’ai besoin que tu t’occupes de moi, et vite, puis passant près de moi me glissa.

« Je vais me faire baiser par un vrai mec »

Ils se dirigèrent vers la chambre à coucher. Très peu de temps après j’entendis des gémissements.

Que faire ? J’étais tentée de tout arrêter, de me changer, me rhabiller en homme pour faire cesser cette comédie ridicule et humiliante. Mais d’un autre coté je dois avouer que cette situation m’excitait, je me rendis compte que ma petite culotte était mouillée.

J’avais du mal à faire des rencontres, et là je me trouvais dans une situation que j’avais fantasmé, du moins en partie. Me retrouver en « fille » face à un couple avait toujours fait partie de mes fantasmes tout en sachant que ce type de rencontre avait très peu de chance de se présenter un jour.

Je décidai donc de prendre sur moi et d’assumer, advienne que pourra ! Pour me donner du courage je me resservis un grand verre.

Du coté de LEUR chambre à coucher, les gémissements avaient cédé la place à des halètements et des cris.

Quand ils revinrent au salon, ils paraissaient tout guillerets. Elisabeth me dit.

« Tu nous a bien excités Ma chérie, tu sais que Medhi t’apprécie beaucoup en Marlène ? Il a quelques idées te concernant… »

Quelques idées me concernant ?

Medhi lui me regardait avec un grand sourire narquois qui me déplut, l’aire de dire.

« Je viens de baiser ta femme à quelques mètres de toi et toi grosse fiotte tu ne réagis pas, cocu et content… »

Cocu certainement, content je suis moins sûre.

Elle se resservit un verre et annonça.

« Bon il est temps de passer à table, installez-vous, j’en ai pour cinq minutes. »

En se levant, elle virevolta devant moi, relevant sa courte jupe.

« Je n’ai pas remis ma culotte, tu devrais enlever la tienne et l’offrir à Medhi, il adore les renifler »

Medhi avait sorti de sa poche un minuscule string rose et se le frottait sur le visage.

Je me levai et m’exécutai, je fis glisser ma petite culotte le long de mes cuisses, de mes jambes et la tendis à Elisabeth qui l’examina.

« Mais elle est mouillée »

Puis s’adressant à son amant.

« Tu avais raison Chéri, ça l’excite que sa femme se fasse baiser sous son toit. »

Et elle lui donna ma culotte et se rendit à la cuisine.

Medhi renifla la culotte, se leva et dit.

« Tu es une bonne cochonne Marlène, je sens qu’on va bien s’amuser avec toi. »

Le ton avait radicalement changé, lui qui depuis que nous avions fait connaissance s’efforçait d’attirer ma sympathie me faisait comprendre que désormais nos rapports prendraient une autre tournure. Il était le mâle dominant et comptait bien en profiter.

Nous passâmes à table. Le diner se passa normalement, je participais très peu à la conversation, entre Mon Chéri et Ma Chérie il n’y avait pas beaucoup de place. Deux bouteilles de vin furent vidées. Après plusieurs apéritifs ça commençait à faire beaucoup.

Nous étions tous trois passablement éméchés en fin de repas. Cela avait au moins le mérite de me détendre un peu.

Après le dessert vite expédié nous retournâmes au salon. Elle mit de la musique douce et proposa à Medhi de m’inviter pour un slow. Il me prit parles les hanches et nous dansâmes, j’eus un peu de mal avec mes escarpins.

Il se collait à moi, je sentis une main parcourir mon dos puis descendre vers mes fesses, il me pelotait sans gêne. J’étais à la fois excitée et mortifiée.

A la fin du morceau elle nous demanda de rester debout. Elle s’absenta un court instant, le temps d’aller dans la chambre à coucher.

Quand elle revient, elle resta derrière moi et ordonna.

« Déshabillez-vous »

. Medhi enleva son pantalon, son t-shirt et resta en slip, je retirai ma robe et me retrouvai en guêpière, sans culotte. Je cachais mon sexe avec mes mains.

« Medhi ôte ton slip et Marlène tu écartes tes mains, je vais vous montrer la différence entre vous deux »

Quand Medhi fut tout nu j’avais compris.

« Voilà la différence entre une bite de vrai mâle et une bistouquette… Tu vois Mon Chéri c’est avec ce petit machin qu’il enfin qu’elle essayait de me baiser depuis quinze ans. »

Il est vrai que son sexe était beaucoup plus long et plus gros que le mien et en plus il bandait alors que le mien restait flasque. J’étais morte de honte.

« J’ai perdu quinze ans avec cette chose ridicule, à faire semblant, à simuler, mais maintenant c’est fini. Je rattrape le temps perdu. »

Soudain je criai, elle venait de me fouetter. Quand elle s’était absentée tout à l’heure c’était pour chercher un martinet. J’avais totalement oublié son existence. Au début de notre relation nous nous donnions mutuellement des fessées, assez softs ; mais cela n’avait pas duré.

Elle frappa de nouveau, plus fort ; puis les coups s’enchainèrent. Je poussai un cri à chaque coup. Elle se vengeait et n’y allait pas de main morte.

Après m’avoir administré une vingtaine de coups elle me fit mettre à genoux.

« Tu vas sucer Mon Homme »

Il n’y avait pas à discuter, je m’exécutai. Medhi me présenta sa queue bien raide et je l’enfournai. Je n’avais pas eu beaucoup d’expériences avec des hommes depuis que je travestissais, mais j’avais quand même appris à sucer.

Je le pompai consciencieusement jusqu’à ce qu’il jouisse quand il éjacula je voulus me retirer mais il plaqua ma tête contre lui et Elisabeth m’ordonna de tout avaler.

« Laisse-toi féconder par Mon Homme, pas question de gâcher sa semence » dit-elle.

Ce que je fis.

Puis elle tendit le martinet à son amant.

« Amuse-toi Chéri »

Il le prit, passa derrière moi, me releva de force et se mit à frapper. Sur les fesses d’abord, puis le dos, puis il s’attaqua à mes cuisses, ajustant les coups pour toucher l’intérieur, où la chair est le plus sensible. Je hurlai de douleur mes hurlements semblaient le stimuler, il y prenait visiblement plaisir. Il en profita pour m’insulter, je fus traitée de grosse tafiole, de grosse pute et j’en passe…

Quand il arrêta tout mon corps me faisait mal. Je réalisai à ce moment-là que ce genre de traitement me serait certainement infligé régulièrement, mais il était trop tard maintenant de faire machine arrière.

Elisabeth décréta.

« Bon, il est tard, on va tous se coucher. Demain matin Marlène, à neuf heures tu nous serviras le petit déjeuner au lit. Tu seras en soubrette, tu as une petite robe noire et sur ton lit tu trouveras un tablier et une coiffe de soubrette »

Tout était dit, ils quittèrent le salon. Je me rendis dans la cuisine, mis le lave-vaisselle et route et fumai nerveusement une cigarette.

Puis après avoir fait ma toilette je descendis dans ma chambre.

Le lendemain matin………. Mais la suite sera pour un peu plus tard….

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